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  • Avc| France | Axolotls et Cie

    AVC ou autre trouble neurologique ? Share L'AVC signifie Accident Vasculaire Cérébral. Un AVC se produit lorsque la circulation sanguine est stoppée brutalement au niveau du cerveau. Cela peut être dû à un caillot de sang ou à une hémorragie. Un accident vasculaire cérébral peut être fatal ou entraîner différents handicaps comme une hémiplégie (paralysie de la moitié du corps). Des cas de plus en plus fréquents de ce qui ressemble à des AVC sur axolotls & Cie nous sont rapportés. Les symptômes sont relativement spectaculaires, en effet, l'axolotl tourne sur lui même le corps comme tordu en un cercle continuel. Il semble ne pas pouvoir se calmer et se remettre en position normale. Photo et vidéo de Mala par Laury Laurier L'issu est souvent fatale, selon l'importance des zones du cortex touchées. en général dans les 24 heures l'animal meurt si l'attaque a été trop grave. Sinon il y a des chances de régénération. Voici un nouvel éclairage nous provenant du Docteur Larrat, après lui avoir posé la question sur le nombre croissant de cas que nous rencontrions, il pense que dans la majorité des cas il ne s'agit en fait pas d'AVC. ​ "Les signes neurologiques décrits peuvent être causés par beaucoup de facteurs différents, et il est assez difficile de poser le diagnostic final d'AVC. En fait, dans la plupart des cas, il y a une autre cause. Toute encéphalite aura des signes similaires (virus, bactérienne voire parasitaire ou fongique) et un certain nombre d'intoxications feront aussi les mêmes signes (NH3*, hypoxemie...). Des anomalies métaboliques (déséquilibre ionique, insuffisance rénale ou hépatique) pourraient aussi causer des signes neurologiques. ​ Le problème du NH3 se pose particulièrement dans les nouveaux bacs, quand un traitement est utilisé, quand les biofiltres sont malmenés (mais je ne dois rien vous apprendre). Si le nombre de cas augmente, et qu'ils ont tous la même cause, je penserais plutôt à des *ranavirus qu'à des AVC. Le diagnostic d'AVC requiert de l'imagerie médicale de pointe, non disponible en pratique sur cette taille d'animaux, ou un examen microscopique des tissus en anatomo-pathologie après la mort." ​ Sylvain Larrat ​ ​ ​ * NH3- L'aquarium est un environnement confiné dans lequel les déchets (excréments, urine, débris végétaux, excès de nourriture, etc.) sont constamment libérés. Ces produits sont rapidement dégradés et transformés en ammoniaque (NH3-), soluble dans l'eau et totalement invisible s'avérant très toxique pour nos aquatiques . ​ ** Ranavirus Les Ranavirus sont des virus à ADN qui causent des nécroses hématopoïétiques épizootiques . Ces virus touchent les animaux aquatiques comme les poissons (dont marins1 ) et les amphibiens (mort par hémorragie internes, avec symptômes d'ulcérations de la peau) ainsi que des reptiles (aux États-Unis, en Australie2 ). Ils sont source de maladies émergentes 3 a priori impliquées dans le déclin général des amphibiens3 ; tous les écosystèmes ne sont pas concernés, mais le virus s'étend, imposant des mesures prophylactiques 4 . On en découvre régulièrement de nouveaux isolats. (Wikipédia).

  • Axolotls et cie, déménagement? eau trop douce?

    Haut de page demenagement demenagement QUESTIONS REPONSES Share Je déménage, comment faire ? Se procurer de grands bidons pour pouvoir au moins récupérer 60% de l'eau de l'aquarium. Siphonner à l'aide d'un tuyau (cf les indispensables) séparer les axolotls dans des sacs pour le transport si le lieu d’emménagement est à plus d'une demie heure, c'est le moins stressant, sinon seaux avec couvercles. Les caler dans une glacière pour éviter les variations de température. Puis les plantes dans un seau avec également un peu d'eau de votre aquarium. Le sable est à retirer si le bac est trop lourd ou risque de céder avec le poids lorsque vous le porterez. Le plus important la pompe : nous avons vu dans la section rôdage qu'elle ne devait pas être arrêtée plus de 3 heures sinon les bactéries vivant dans les masses filtrantes, n'étant plus oxygénées, mourront. Première solution : vous ne déménagez pas trop loin et savez que dans les 3 heures vous aurez eu le temps de la rebrancher dans votre nouveau logement ( ce qui implique de tenir compte du temps de dépose de l'aquarium, dépose du sable et remplissage avec les bidons et une nouvelle eau prélevée directement au robinet (sauf souci majeur qui empêche l'utilisation de celle-ci) sinon même le chlore sera en quantité infime car dilué avec votre eau adoucie. Deuxième cas de figure vous ne pourrez rebrancher votre pompe dans l'aquarium dans les trois heures : dans ce cas munissez vous d'un bulleur (pompe à air) à piles ainsi vous mettrez vos masses filtrantes ou votre pompe si il s agit d une interne dans un seau avec le bulleur, les bactéries étant toujours oxygénées ne dépériront pas. Comment adoucir une eau trop dure ? En incorporant de l'eau osmosée, ou des feuilles de catappa, des fruits d'aulne, des feuilles de chêne. Pensez à vérifier votre eau à l'aide de vos tests en goutte afin de ne pas trop l'adoucir. Comment faire tenir mes plantes, le temps qu'elles s'enracinent ? Comment durcir mon eau ? Vous pouvez la reminéraliser en utilisant du "Preis" qui contient des minéraux mais pas de trace d'iode. Attention à ne pas jouer à l'apprenti chimiste, c'est uniquement à utiliser en cas d'eau de conduite vraiment trop douce. Sinon il est toujours préférable de procéder à un bon changement d'eau qui rééquilibrera tous vos paramètres. En utilisant des galets (trop gros pour être avalés si c'est dans l'aquarium des axos et si possibles plats pour prendre moins de place, et être plus discrets. vous coincez vos tiges et racines dessous et recouvrez de sable le temps que les racines se forment et s'étendent. Autre solution vous utilisez un panier pour plante en retirant le plomb, la laine de verre si il y en as et vous mettez votre plante ou vos tiges dedans puis vous remplissez de votre sable. La première solution reste la plus pérenne. Sera m'a expliqué que ce produit contient de l'iode donc ne pas l'utiliser avec vos axolotls Comment retirer les œufs des plantes ? Comment rafraîchir mon eau ? Je peux utiliser des bouteilles d'eau congelées à raison de deux ou quatre selon le litrage (250 litres ou 500) le matin, le midi et le soir cela en continu, pour éviter toute variation de température, solution qui fonctionne bien pour peu que l'on fasse de la place dans le congélateur et que les changements de bouteille soient très réguliers! Autre solution : une rampe de ventilateurs achetée dans le commerce ou bien fabriquée maison (voir dans la section maintenance ). Un ventilateur sur pied peut être également dirigée vers la surface de l'eau afin de gagner quelques degrés. Une climatisation mobile fonctionne également bien et vous de profiter aussi de la fraîcheur de la maison. Un groupe froid très efficace dans certains cas mais des personnes rapportent un trop petit bénéfice pour que l'achat plutôt coûteux soit amorti. Il faut donc y mettre le prix et prendre un excellent refroidisseur. Soit en les faisant glisser plante par plantes à la main dans un saladier puis en replantant au fur et à mesure vos plantes. Soit en siphonnant à l'aide de votre indispensable tuyau dans un seau, saladier. Si vous effectuez cette opération dans les derniers jours avant éclosion il y a risque que cela ouvre les œufs car les derniers jours la poche est très fine afin de permettre une éclosion plus facile des juvéniles. Comment calculer les kilos de sable à acheter, selon la taille de mon aquarium ? Très simple : mon aquarium mesure 150 cm par 50 cm de large, profondeur et je souhaite mettre 4 cm de substrat, sol, 150 X 50 X 4 = 30 000 je divise par 1000 ce qui me donne 30 litres de substrat.

  • Axolotl | Axolotl Domestique | France | Axolotls et Cie

    Axolotls et Cie est un site web dédié principalement à l'axolotl, mais également à d'autres cousins amphibiens, certains articles concernent aussi les autres aquatiques vous le découvrirez, même si le thème principal du site reste l'axolotl. Vous pourrez découvrir sa maintenance complète et détaillée ainsi que de belles photos. Les mises à jour sont hebdomadaires avec l'aide de vétérinaires, et les retours d’expériences de membres en France et à l'étranger ; certains pays ayant plus de recul que nous. En vous souhaitant une belle découverte, soyez les bienvenus ! Venez échanger avec les membres du forum. Axolotls et Cie Derniers ajouts sur votre forum ! MathChameleon 8Std. Mon axolotl vient de mourir et j'aimerais bien savoir si c'est a cause d'un parasite ou si c'est contagieux 按讚 反應 0 1 則留言 1 瀏覽次數 Paysdeloire.mel vor 1 Tag Femelles coppers disponible 按讚 反應 0 0 則留言 0 瀏覽次數 Kilian.axo vor 1 Tag Axolotl 59 按讚 反應 0 0 則留言 0 瀏覽次數 Nathalie C Nathalie C Nathalie C

  • Axolotls et cie, reproduction et ponte

    Haut de page REPRODUCTION - PONTE Nathalie C Ponte/Elevage ​ Les axolotls atteignent la maturité de procréation entre 8 mois et plusieurs années, selon la fréquence et la qualité de la nourriture ainsi que la température de l'eau et les conditions de maintenance en général. Les axolotls sont prêts aux alentours de leurs 18 cm. Les femelles souvent un mois ou deux après les mâles. Élevage - Les méthodes En général la saison de reproduction se situerait de décembre à juin. Evidemment on peut élever des juvéniles toute l’année mais en début de saison le succès sera plus important. Les journées étant plus courtes et plus fraîches les axolotls auront tout de même tendance à se reproduire durant l’hiver. Une méthode consisterait à provoquer la reproduction en séparant quelques semaines mâle et femelle puis en les réintroduisant tous deux dans un aquarium de 4 degrés de moins, le choc thermique stimulerait le mâle. Cette méthode n’est à tenter que dans le cas d’une impossibilité du mâle à libérer des spermatophores pour aider la demoiselle en détresse à expulser ses œufs et ainsi lui éviter une mort par rétention d’œufs (donc si la femelle est énorme et depuis un moment déjà), sinon aucun intérêt à les embêter ainsi, laissons faire la nature ! La reproduction se fait tout naturellement si vos axolotls sont maintenus dans de bonnes conditions. Et cela sans épuiser vos femelles ou mâles. Dans les faits : La femelle grossit , se remplissant d’œufs pour l’instant non fécondés (parfois cela n’est même pas perceptible j’ai le cas d’une femelle chez laquelle ça n’est jamais visible elle reste tout le temps svelte). Le mâle sentant que les œufs de cette dernière sont arrivés à maturité va entamer une parade nuptiale à laquelle vous n’assisterez pas forcément car elle peut avoir lieu tard le soir ou au petit matin. Il soulève la femelle, la fait virevolter cela peut paraître violent même parfois, mais il n’en est rien, il stimule ainsi la femelle et se prépare lui aussi à semer des spermatophores (petits cônes translucides de gelée avec à la pointe un minuscule triangle blanc, ci-dessous en photo). Une fois les spermatophores déposés un peu partout dans l’aquarium la femelle s’inséminera seule en prélevant à l’aide de son cloaque la partie blanche. Elle fécondera ainsi ses œufs qu’elle pourra pondre entre 24h et 3 semaines plus tard ! Et oui le laps de temps reste là aussi très aléatoire. Pour ce faire elle s’accroche aux plantes et y « sème » ses œufs en longs chapelets. ( Voir vidéo1 ) ( vidéo2 ). Femelle, cloaque court et + pointu Mâle, cloaque long Nathalie C Nathalie C Oeufs d'une mère albinos = toujours blancs L'OEUF Le clivage : de l'oeuf à l'embryon Premiers plans de clivage. Environ 1h30 après la pénétration du spermatozoïde, le premier plan de clivage issu de la première mitose apparaît. Il partage la cellule-oeuf en deux premières cellules de taille identique ou blastomères. On parle de segmentation totale et égale. Trois quarts d'heure après, le 2 ème plan de clivage apparaît perpendiculairement au premier et partage l'oeuf en 4 cellules de même volume. Du stades 2 à 4 cellules. Chez ces embryons, la polarisation dorsoventrale reste nettement visible grâce à la différence de pigmentation. Le premier plan de clivage passe par le plan médian et partage l'oeuf en deux cellules identiques eu égard à la pigmentation. Au stade 4 cellules, on distingue nettement les deux blastomères dorsaux de couleur claire, ainsi que les deux blastomères ventraux plus sombres. Morula-Blastula Par la suite, les plans de clivage se succèdent rapidement. Le jeune embryon devient d'abord une morula par ressemblance avec une petite mûre (fig.14). Du stade 8 à 128 cellules, l'embryon prend la forme d'une petite mûre. C'est le stade morula. La différence de pigmentation dorsoventrale est toujours perceptible. Au terme de la période de clivage, l'embryon est une blastula (fig.15). Stade blastula vu par le pôle animal. Une gallerie web regroupe les différentes étapes du clivage de l'oeuf de xénope (voir l'animation ). La blastula comprend plusieurs milliers de cellules et se subdivise en trois régions aux destinées différentes (fig.16). On peut reporter ces trois grandes régions sur une coupe histologique méridienne (passant par l'axe pôle animal- pôle végétatif) : - la calotte animale, constituée par les cellules de la région du pôle animal qui constituent les tissus ectodermiques à l'origine de l'épiderme et du neuroderme. - la zone marginale, à l'origine des tissus mésodermiques tels que le squelette, les muscles, les reins, le coeur ...etc. La calotte animale et la zone marginale sont des subdivisions de l'hémisphère animal. - L'hémisphère végétatif est à l'origine des tissus du tube digestif et des glandes annexes. Figure 16. Schéma d'une blastula de xénope (A) d'après des coupes histologiques réalisées dans les hémisphères animal (B) et végétatif (E). Sur les détails (C et D), les limites cellulaires soulignées en rouge mettent en évidence la différence de taille entre les micromères du pôle animal et les macromères du pôle végétatif. Au niveau du pôle animal l'épithélium embryonnaire est tristratifié. HA: Hémisphère Animal, HV: Hémisphère Végétatif. Au centre de l'hémisphère animal, on remarque la cavité de segmentation ou blastocoele (Fig.16), que l'on peut mettre en évidence par une dissection de l'embryon (Fig.17). Figure 17. Blastula ouverte par l'hémisphère animal montrant le plancher du blastocoele. Pour voir la dissection, choisissez la séquence ci-dessous. Séquence réduite: 328 Ko Séquence in extenso: 3,1 Mo On remarque que les cellules de la région polaire animale sont de petite taille (micromères) par opposition aux grandes cellules de l'hémisphère végétatif (macromères). La raison de cette dissymétrie tient à la présence de réserves nutritives ou vitellus, stockées sous forme de grains ou plaquettes de plus grande taille au pôle végétatif qu'au pôle animal. Dans la figure 16, l'accent est également mis sur l'organisation de l'épithélium embryonnaire du pôle animal. Chez le xénope, celui-ci est formé par trois couches irrégulières de cellules. Ce détail a son importance, car il est fréquent chez les anoures à l'inverse des urodèles où le plafond du blastocoèle est composé de deux couches de cellules. Ces différences ne sont pas sans conséquences sur la suite du développement, notamment lors de la mise en oeuvre des mouvements cellulaires qui vont intervenir au stade suivant : la gastrulation.

  • Coccidies | France | Axolotls et Cie

    BACTERIES, COCCIDES Share La Clinique Vétérinaire Alliance de Bordeaux s'est penchée sur le cas de l'axolotl d'Emilie PSD, Celui-ci maigrissait à vue d'oeil, régurgitait toute nourriture, y compris coeur de boeuf censé être bien plus appétent. Ses selles etaient blanchâtres. Sa peau se desquamait (il perdait son mucus). Donc suspicion de parasitage interne. Voici le rapport du vétérinaire qui s'est occupé de Shadow : Mucus épais Selles translucides Troisième jour de traitement, à suivre... Suite... seconde visite ... Le traitement au flagyl a été arrêté le 6/01/19 et l'antibio ainsi que l'anti vomitif le 9/01/19 Précision important, il s'avère que la desquamation ne venait pas de la peau de Shadow mais de ses intestins irrités.

  • Axolotls et cie, poubellarium

    Accueil Axolotls et Cie L'axolotl Santé Boutique axolotls Forum Maintenance Plantes, algues Tutoriels, cadeaux, galerie Anoures & Urodèles Search Results Plus... Le poubellarium Share Le poubellarium est une poubelle extérieure préparée un peu en amont de l'été afin d'y mettre les poissons. Ni filtré, ni chauffé, il permet à vos poissons de retrouver un semi-état sauvage et vous évite la corvée d’entretien de l’aquarium pendant plusieurs semaines. Toutes les infos pour créer son poubellarium dans cette astuce ! À noter : l’utilisation du poubellarium est surtout prévue pour les poissons tropicaux. Fonctionnement du poubellarium Pour un poubellarium efficace : Il faut avoir un gros volume d'eau : au moins 100 litres, au mieux 200 litres. Pas besoin d’installer de filtre. Pour être sûr que l'eau est régulée a minima, attendez la formation d'algues et de lentilles d'eau avant d'introduire vos poissons. Ceux-ci vont ingérer une part des nitrates. Placez votre poubellarium de façon à ce qu'il reçoive le soleil de l'est et du sud. Bon à savoir : préférez un contenant plus large que profond et évitez la piscine gonflable qui, bien que pratique et pas chère, risque de crever. Ensuite, tout est une question de timing : Vous devez préparer le poubellarium 1,5 mois au moins avant l'introduction des poissons : ainsi, les bactéries et algues nécessaires auront le temps de se développer. Vous pouvez ensuite installer votre poubellarium dès début juin et jusqu'à fin août. À noter : conservez d'une année sur l'autre le bac avec l'eau. Ainsi, la nourriture vivante sera encore plus foisonnante : même si les larves meurent l'hiver, elles se régénèrent au printemps grâce aux œufs. Avantages d'un poubellarium : des vacances pour vous et vos poissons Le poubellarium a beaucoup d'avantages, pour vous comme pour vos poissons. Pour vous, cette option est : économique : à part l'achat du contenant, vous économisez pendant 1 à 2 mois sur toutes les dépenses habituelles liées à votre aquarium ; en ce qui concerne le chauffage par exemple : la poubelle chauffe en journée et refroidit la nuit, donc pas besoin de vous en préoccuper ; autonome : plus besoin de vous occuper de l’entretien de l’aquarium ; ni du repas de vos poissons : ils se nourriront de vers de vase, de larves de moustiques, de daphnies et d'algues. Pour vos poissons, les avantages du poubellarium sont les suivants : leurs couleurs seront plus vives après ce semi retour à l'état sauvage ; vos poissons eux-mêmes sont plus vifs ; la reproduction est ainsi favorisée sans que vous ayez à vous en occuper. À noter : si vous avez des alevins à la fin des vacances, vous ne pourrez les introduire dans votre aquarium que très délicatement, car ils sont très sensibles aux changements de température. Quels poissons peut-on mettre dans un poubellarium ? Si le poubellarium est une solution simple pour faire prendre des vacances à vos poissons, tous ne peuvent pas en profiter. En effet, ce sont principalement les poissons exotiques qui peuvent tolérer cette acclimatation. Concrètement, vous pouvez y introduire : Tous les vivipares : guppy, platy ou molly Les cichlidés des grands lacs africains Les pelvicahromis pulcher (Pelmato) Les tanichtys albonubes (vairon de Chine ou néon des pauvres) ; des barbus, des combattants, les rasboras, etc. En revanche, évitez : les scalaires, les poissons-couteaux ; les nez rouges, les poissons pingouins ; les Hypostomus plecostomus, les nannostomus, etc. Et la liste est encore longue des deux côtés : renseignez-vous en animalerie pour savoir si vos poissons peuvent séjourner en poubellarium. Bon à savoir : des températures trop fraîches seront fatales à vos poissons : ne les sortez pas avant que la température soit stable (autour de 20-22 °C).

  • Axolotls et cie, La pixycephalus adspersus

    Pixycephalus Adspersus Share Photos de Justine Gaïa Leroy

  • Ambystoma-andersoni | France | Axolotls et Cie

    Ambystoma Andersoni Share L'Ambystoma andersoni, également appelé Salamander Anderson, est une salamandre néotonique de la Lagune de Zacapu dans le nord-ouest de l'État mexicain de Michoacán. Morphologie L'Andersoni mesure environ 20/22 cm, il est plus trapu que son cousin l'axolotl. Son corps est robuste avec une queue courte, une carène caudale réduite, des doigts et orteils courts et très palmés. Sa coloration générale tire sur le brun rougeâtre et il est couvert de nombreuses taches noires, parfois reliées entre elles. Certains individus se sont transformés en laboratoire, comme cela a été le cas pour Ambystoma Dumerilii et l'Ambystoma. Taylori, mais n'ont pas vécu longtemps. Aucun individu transformé n'a été trouvé dans la nature. Contrairement à son cousin l'axolotl, ils possède entre ses doigts une membrane, créant une palmure bien plus importante. Dans la nature les Andersoni vivent dans des eaux fraîches, et riches en oxygène. Le lac Zacapu se situe à côté de la ville du même nom. Les températures vont d'un minimum de 8 °C à maximum de 24 ° C. La taille du lac est seulement de 39,96 hectares, avec une profondeur non connue précisement. L'eau est opaque et a une couleur grise. Le lac est situé à une altitude de 1990 mètres au-dessus du niveau de la mer dans la Mesa Central, (une partie du Mexique), dans une région d'où de nombreuses espèces d'ambystoma néotoniques sont originaires. La température du lac est tempérée, avec une faible teneur en sel. Il est alimenté à partir d'un seul affluent, qui coule du lac Patzcuro au lac Zacapu. Habitat naturel caractéristiques : pH Entre 6,8 et 7,5 GH (dureté totale) À 5 °dH KH (dureté carbonatée) À 4 °dH Températures air : min. 7,6 °C ; max. 24,7 °C Température de l'eau 15,7 ° C - 20 ° C (Décembre - Février) indice UV à environ 7-8 humidité à 69-78% Une socialisation avec d'autres espèces, par exemple l'Axolotl n'est pas conseillée . En effet une hybridation des deux individus tenderait à perdre les spécificités de chaque espèce. Les Andersonis sont beaucoup plus actifs et mènent une vie diurne à l'inverse des axolotls qui ont sont nocturnes. Les uns pourraient déranger les autres. Cette espèce est d'ailleurs moins "agressive". L'habitat Comme son cousin il faut lui aménager des cachettes et l'ombre des plantes lui sera bénéfique apportant également de l'oxygène comme dans son lieu de vie naturel. La température ne doit pas dépasser 23 ° C, même en été. Jamais. L'Aquarium Les mêmes dimensions que celles préconisées pour les axolotls, soit : pour deux individus 100 x 40 x 40/50 minimum, mais l 'idéal reste de prévoir plus vu leur activité plus importante. Et ce sont également des sauteurs commes leurs cousins donc il faut soit installer une protection sur le dessus de l'aqaurium, soit laisser minimum 15 cm sans eau. Le sol Un sable fin ou des micro billes pour des raisons évidentes, éviter des occlusions. Et évidemment non tranchants comme le quartz qui en plus d’abîmer l'estomac et les intestins en cas d'ingestion, les blesserait entre les orteils (de plus rappelons qu'il contient des métaux). La température La température de l'eau peut se situer entre 10 ° et 20 °, mais dans tous les cas en dessous de 22 ° C, les températures élevées rendent les ambystomae sujets aux affections fongiques (mycoses) et les rendent plus nerveux et stressés. L'idéal se situant entre 15 et 18 °Celsius. L'élevage de l'Andersoni est considéré comme difficile. Dans la nature la parade nuptiale a lieu au printemps lors des légers réchauffements. Alimentation L'alimentation peut se faire à tout moment, comme les Andersoni sont chasseurs diurnes et crépusculaires. Une alimentation variée est importante pour les maintenir en bonne santé. Tous les 2-3 jours c'est suffisant pour des individus adultes. Vous pouvez les alimenter avec de la chair de poisson, des pellets spécial Andersoni (ou axolotls), en revanche ne surtout pas donner de vers de terre aux juvéniles car cela augmenterait le risque de métamorphose selon des spécialistes. On est sensiblement sur la même alimentation que l'axolotl. Nathalie Chassagne Nathalie Chassagne Nathalie Chassagne

  • Abces-axolotls | France | Axolotls et Cie

    ABCÈS Share Les abcès ont souvent pour cause initiale une micro blessure qui s'est ensuite infectée, formant une poche enflée. L'axolotl n'aura plus faim, tout simplement car la plaie sera douloureuse, gênant l'absorption de tout aliment. Bien souvent il se situe sur la tête de l'axolotl (blessure dans la bouche fréquente pouvant avoir pour cause l'ingestion comme des crevettes, ou un caillou, etc.). Un abcès "mûrit" puis à terme "éclate". Il est conseillé d'isoler votre loulou en bac hôpital avant et le laisser en bain de bleu de méthylène (ou Esha 2000) pour désinfecter la plaie après éclatement de cet abcès. Vous pouvez également le faire percer par un vétérinaire, mais surtout ne vous improvisez pas dans ce rôle !!! Le processus peut durer un mois, entre l'apparition de l'abcès et son éclatement. Si cela a eu lieu à la maison surveiller qu' 'il n'y ait pas surinfection car des antibiotiques seraient nécessaires. L'axolotl retrouvera son appétit une fois que la blessure ne le gênera plus. ​ Vérifiez la cause possible de cette blessure afin que "l'incident ne se reproduise plus (décorations, alimentation..). L'axolotl avant son abcès. Un abcès apparaît sur la tête de l'axo. Il ne s'alimente plus car géné par la douleur de l'inflammation. J + 4 L'abcès commence à diminuer et être moins inflammé. Merci à Léa Gauville pour les photos de son loulou. CLINIQUE VETERINAIRE ALLIANCE A BORDEAUX La Clinique vétérinaire Alliance soigne également les axolotls ! Youpi ! Cette clinique se situe à Bordeaux : 8, boulevard Godard - 33000 Bordeaux Tél : 05 56 39 15 48 http://www.veterinaire-alliance.fr/ "Lucky, cet axolotl femelle nous a été présentée car elle ne mangeait plus depuis deux semaines. L’examen clinique a révélé la présence de masses buccales. La ponction et l’analyse cytologique a révélé que ces masses étaient des abcès. Lucky a été mise sous antibiotiques. Les poissons et les amphibiens peuvent être soignés comme les chiens et les chats ! Nous souhaitons une bonne convalescence à Lucky !" Cet axolotl est celui d'Anne Sophie Ciliberto qui a gentiment accepté comme la clinique vétérinaire de partager ces informations avec vous, non pas pour faire de l'auto médication mais pour guider votre vétérinaire si celui-ci n'est pas spécialisé et qu’éventuellement il puisse contacter la Clinique Alliance de Bordeaux, mais aussi pour que vous sachiez que ce cas de figure peut arriver à l'un de vos axolotls. Le vétérinaire lui a fait une injection d'anti inflammatoires. Son traitement s'étale sur 2 semaines. Elle doit donc rester isolée. Le traitement est à administrer soit dans l'eau soit directement dans sa bouche. Journal of the American Veterinary Medical Association - JAVMA detooSrnsp7fhh483eim0é1l5i4v9 f1r19mc3clr4 · Le neuroblastome olfactif doit être pris en compte dans le diagnostic différentiel des axolotls avec des masses palatales intraorales. Ce rapport décrit la première application de la radiothérapie pour le traitement d'un neuroblastome olfactif dans un axolotl. L'axolotl est mort 3,5 mois après la fin de la radiothérapie; l'évaluation post mortem n'a montré aucun signe de néoplasie. https://jav.ma/3oImDv1 Flo, The Exotic Vet - Dr Modesto detooSrnsp7fhh483eim0é1l5i4v9 f1r19mc4clr4 · Comment commencer la semaine d’une meilleure manière!! Mon dernier article vient de paraître dans le prestigieux Journal of the American Veterinary Medical Association - JAVMA !! Voilà de quoi enrichir un peu la littérature sur cette espèce pour qui peu de données sont encore publiées! ​ Merci à Clinique vétérinaire Oncovet et plus particulièrement à mon co-auteur le Dr Jérôme Benoit pour son aide précieuse et la réalisation des radiothérapies (souvenir de visite au Centre le matin très tôt!!). Petit à petit, les NAC ont aussi le droit à une médecine oncologique de qualité!...et nous travaillons pour améliorer leur soins et avoir plus de données sur le sujet chaque jour!

  • Axolotls et cie, Bois et pierres

    Haut de page bois pierre bois pierre Bois et pierres Share COMMENT PREPARER SON AQUARIUM ATTENTION : il faut attendre au moins un mois avant d’intégrer les axolotls (cf section rôdage de l’aquarium un peu de patience ! 1°) Vérifier l'aquarium (vérification des joints, recherche d'éventuelles fissures, absence de tout grain de sable entre la base et le meuble...) 2°) Placer l'aquarium sur le meuble, lequel doit être suffisamment solide : la surface de pose doit être bien plane et on évitera les emplacements près d'une fenêtre, du fait des risques de chaleur au printemps ou en été et pour ne pas encourager la multiplication d'algues indésirables; 3°) Rincer soigneusement le sable. Versez-le doucement dans le bac et étalez-le grossièrement. 4°) Verser l'eau : pour éviter de faire de gros trous dans le sable ou des éclaboussures, on peut placer une assiette sur le sable et verser l'eau sur celle-ci (remarque : à ce stade, le bac ne devra plus être déplacé sans être d'abord vidé, sous peine de catastrophe ! 5°) Installer et brancher le filtre. 6°) Après avoir vérifié que tout fonctionne bien, on peut alors commencer à planter l’aquarium. Sans oublier de se référer à la section plantes afin de bien agencer les plantes de premier plan, de milieu et côtés et de fond ) Le bois dans votre aquarium, pour ou contre? La plupart des essences de bois relâchent des produits qui acidifient et colorent l’eau, pour limiter ce dégagement de tanins on peut faire bouillir la racine pendant quelques heures. Il faut trouver une casserole assez grande, et changer l'eau fréquemment la cuisson peut parfois prendre 10 heures pour que l'eau soit moins jaune. Le but est de faire éclater les fibres et d'obliger le bois à se gorger d’eau, ce qui le fera couler et non plus flotter et permet d’atténuer les rejets de tanins qui colorent l’eau. Cette coloration est sans danger mais peut être limitée en filtrant sur charbon actif (pas de charbon pendant que les loulous sont dans l'aquarium) pendant quelques jours. Certaines espèces de bois teignent l'eau pendant plusieurs mois ! (Voici un lien intéressant pour le prélevement en milieu naturel http://base-channa.fr/quel-bois-en-aquarium ). Mais beaucoup de bois sont complètement incompatibles avec les axolotls : Il convient de ne pas utiliser n’importe quelle essence de bois et surtout de répéter la phase d’ébullition chaque année afin d’être sûr que la racine ne libère plus de tanins et n’acidifiera pas l’eau (baisse du ph). Bois autorisés avec les axolotls (très peu) : Hêtre, Bouleau, racines Araignée, Saule, Orme , bois de Manzanita, Horn Wood, racines Asia, Racines Moorkien (Mangrove, si cette dernière a des années d’usage avant d’être incorporée et si elle est chaque année à nouveau mise en bain bouillant). Hêtre Manzanita Racine Araignée Horn Wood Moorkien Racine Asia Interdits : Résineux, chêne, bois de Tourbière, Mopani (relâche du cuivre). Pour vos autres bacs à poissons : Même pour vos bacs communautaires, il faut de toute façon éviter de ramasser n’importe quel bout de bois trouvé au cours d’une promenade, car une fois immergé il risque de pourrir ou s’il s’agit d’un arbre fruitier qui a été traité régulièrement à grand coup de pulvérisation de bouillie bordelaise et d'insecticides, il risque de relâcher dans l’aquarium les produits chimiques et le cuivre employés. On évite aussi les bois résineux, pin et sapin, qui libèrent diverses substances nocives. Les ceps de vigne sont souvent employés après un bon nettoyage et à condition de ne pas avoir subi trop de traitements chimiques. Il faut plutôt choisir des racines de tourbière déjà imbibées d'eau ou du bois de Mopani qui est très dur et très lourd. Il s'agit généralement de racines de Combretum Mopane, arbre qui pousse dans la savane en Afrique. Selon son origine il peut relarguer divers sels minéraux issus du sol, du cuivre, ou même du nickel. Il ne flotte pas du tout. Mais surtout pas avec les axolotls je précise. Les racines de mangrove proviennent de milieux saumâtres, où selon les saisons, et selon les marées, l'eau est régulièrement salée puis douce. Ces racines contiennent du sel, même si elles ont souvent été rincées avant d'être commercialisées. Une longue ébullition permet de les nettoyer, et de les dessaler partiellement : elles ne flottent généralement pas. Le sel à petite dose n'est pas dangereux pour les poissons, et est même parfois utilisé en traitement, en revanche il est interdit pour nos loulous. Une ébullition permet également de tuer une grande partie des mousses, larves, insectes, moisissures ou champignons qui se trouvent dans le bois ou sous l'écorce. Tourbière Moissisure et micro organismes/bois Les bois extraits des tourbières sont exempts de sel et ont généralement un pH très bas ,mais sont souvent porteurs de parasites, de champignons, de spores, ou d'algues . Ils viennent de milieux acides et ont tendance à abaisser le pH en relâchant divers tanins, mais ils ont l'avantage de ne pas flotter. Le bois de tourbière colore l'eau. Le bois silicifié , appelé aussi bois pétrifié convient parfaitement aussi mais il est très lourd et souvent assez cher si on veut des gros morceaux. Le châtaigner, l'aubépine et le faux accacia . L’aulne est un bois très neutre qui durci lorsqu'il est entièrement trempé dans l'eau Sur les bois qui n'ont pas trempé assez longtemps on voit souvent apparaître une couche blanchâtre ou beige, ressemblant à de la mousse gluante. Il s'agit de champignons inoffensifs, une sorte de moisissure, que les poissons et les escargots mangent volontiers. Le fait de bouillir les souches permet aussi de se débarrasser des diverses larves, spores ou bestioles qui sont cachées dans l'écorce ou dans le bois.. . Certains bois colorent et acidifient beaucoup l'eau ; il faut donc contrôler régulièrement que le pH ne baisse pas trop. Si on met une souche dans le but de baisser le pH d’un aquarium il ne faut évidemment pas mettre de charbon dans le filtre, puisque le charbon supprime le tanin et donc l’acidification de l’eau.[/spoil] C'est souvent à ce moment que l'on s’aperçoit que la plupart des racines ont la malencontreuse idée de flotter... eh oui, elles sont en bois ! Le délai avant qu'une pièce de bois veuille bien couler naturellement est très variable selon la nature du bois et la taille de la pièce (les plus grosses coulant souvent immédiatement) et peut aller de quelques jours à quelques mois. Si l'on a pas eu opportunité avant la mise en eau du bac de faire tremper la racine suffisamment pour qu'elle veuille bien rester immergée, il faudra alors la lester en attendant, soit par le dessus en posant des pierres dessus (pas forcément très esthétique), soit par le dessous en la fixant sur un support de roche (à l'aide colliers plastiques ou de vis inox par exemple). ​ Cachettes naturelles Les noix de coco permettent aussi de créer des cachettes qui ont beaucoup de succès y compris pour nos axolotls. Il suffit de les scier en 2 gros morceaux ou pratiquer une ouverture à la scie cloche puis de les vider en enlevant soigneusement toute la chair qui reste accrochée, et bien poncer les bords pour éviter qu'un axo s'y coupe. Les pierres Sans aller jusqu'à concevoir un décor entièrement minéral comme c'est fréquemment le cas pour des bacs de Cichlidés africains, l'emploi de roches et de pierres peut être intéressant. Certains loulous apprécient de pouvoir se cacher dans des cavernes et des grottes. On évite d'utiliser des pierres calcaires si l’on a déjà une eau dure avec un pH haut. Pour tester rapidement une pierre il suffit d’y déposer quelques gouttes de vinaigre ou mieux encore l'acide chlorhydrique qui s'achète facilement en pharmacie. S'il y a production de mousse ou apparition de bulles, la pierre contient du calcaire et ne doit pas être mise dans un aquarium d’eau douce. Les roches les plus courantes dans nos régions sont le granit, l'ardoise et le grès, les roches siliceuses, le schiste. Ces deux dernières pierres sont à éviter à cause de leurs bords coupants. Les pierres qu'on ramasse soi-même dans la nature doivent être frottées, grattées et bien lavées pour les débarrasser des hôtes indésirables ou de la terre qu’elles peuvent contenir. Un bain bouillant ne leur fera là encore pas de mal. Attention aussi d'éviter de ramasser des pierres qui ont des inclusions de divers métaux (cuivre par exemple) qui pourraient se dissoudre dans le bac. Évitez utiliser du sable ramassé au bord de la mer, tout comme le corail, ou les morceaux de coraux et les coquillages car ils sont calcaires certes mais contiennent du sel iodé (interdit pour nos axolotls) et modifient de façon importante les paramètres de l’eau. De plus les coraux sont coupants et les poissons s'y blessent. Les pierres aussi doivent être frottées, grattées et bien lavées pour les débarrasser des hôtes indésirables ou de la terre qu'elles peuvent contenir. On peut employer un nettoyeur à pression. Depuis de nombreuses années, les racines occupent une place de choix dans nos aquariums. Mais nombre d'entre nous ont déjà été tentés de faire face au prix parfois inabordable des racines proposées dans le commerce, en les prélevant eux-mêmes dans la nature. Cet article a pour but de vous guider dans le choix des essences de bois compatibles avec nos aquariums d'eau douce. Les feuilles de nos bacs: * La feuille de Cattappa (badamier): Très réputée parmi les aquariophiles, elle a diverses propriétés: -Antimycosique (fongicide : très actif sur les champignons) -Bactéricide -Antiparasitaire -Antistress * La feuille de chêne *La feuille de frêne * La feuille d’amandier (prunus alba) *La feuille de hêtre * La feuille de bouleau *L’osier *Le peuplier *Les fruits d'aulne : Ont la particularité de baisser très efficacement le PH, compter un fruit pour 15L. (Préférer les fruits d'automne, plus actifs que ceux du printemps). Toutes ces feuilles influent sur le ph en le faisant baisser vous ne pouvez les utiliser que si votre eau est trop dure pour vos axoltols ou bien avec d'autres espèces qui exigent une eau plus douce.

  • Axolotls et cie, Cohabitation avec l'axolotl?

    Haut de page cohabitation cohabitation COHABITATIONS INTERDITES Share Beaucoup souhaitent ajouter "de la vie" dans leur aquarium, trouvant peut etre l'axolotl trop calme... C'est pourtant là le caractère de l'animal que vous avez choisi d'adopter, préférez lui un autre dans ce cas. Les accidents sont si nombreux lors des cohabitations. Les poissons carnivore mangent ou se font manger il n'existe pas de "copinage" comme on le lit souvent. "Cela fait deux ans qu'il sont ensemble et tout se passe bien, il n'y a jamais eu de problème". Bien si vous pensez détenir un axolotl ou un poisson rouge hors norme Pour information les poissons de fond comme Ancistrus et Corydoras sont STRICTEMENT interdits avec nos loulous. On ne compte même plus les accidents (qui au passage coûtent en général la vie aux deux ce qui est bien triste) vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. L'ancistrus possède une nageoire dorsale parsemée d'épines acérées pour sa défense, donc gobé par erreur ou réflexe par votre axolotl il la hérissera et plantera ses épinces dans le palais et la gorge de l'axo ou si il "passe" il lacérera l'estomac de celui-ci. un corydoras possède également une unique mais venimeuse épine dorsale, contenant du poison. Quand à notre gentil poisson rouge il n'ira peut être pas gober votre axolotl il s'amusera juste à lui "épiler" les filaments des branchies en les voyant bouger car il les prend pour de délicieux vers . Et recommencera éternellement. Un autre point : interrogez vous simplement sur la température de maintenance d'un éventuel poisson que vous voudriez incorporer? Vous en connaissez beaucoup qui vivront agréablement dans ces températures fraîches? Survivre oui mais ça n'est respectueux pour aucune espèce. De plus les va et viens des poissons ne feront que stresser le tranquille axolotl, pouvant générer un retard de croissance, un manque d’appétit, etc. L'axolotl se suffit à lui même, vous n'avez pas besoin d'autres poissons. respectez le. D'ailleurs petit mémo, un axolotl ne se maintient pas à température ambiante comme un poisson rouge mais à température fraiche (16/18 degrés) du moins si vous souhaitez qu'il soit au mieux. ​ ​ Autres risques souvent ignorés : Le Flavobactérium dont le guppy (entre autre) peut être porteur sain ou non, c'est donc la roulette russe plus d'information ici >>> Les vers intestinaux pouvant parasiter les poissons, ils peuvent etre visibles ou non >>> ​ Donc bannissez ces poissons de votre bac à axolotls ! Le poisson rouge gobe les filaments des branchies des axolotls ou même ses branchies car pour lui il s'agit tout simplement de petits vers délicieux ! L'ancistrus comme le pleco ont de redoutables épines dorsales et latérales, certains axolotls ont hélas tenté de gober ces poissons et se sont retrouvés bouche et tube digestif empalés à mourir lentement (3 jours le dernier cas) souffrance atroce pour deux êtres vivants au final... L'autre point les poissons de fond adorent "sucoter" la peau douce des axos leur causant de vilaines plaies et brûlures. Le corydoras dispose d'une épine venimeuse les risques sont donc bien évidents pour l'axolotl ! Cohabitations déconseillées Les crevettes telles Red cherry sont parfois conseillées sur certains sites. Nous avons pu observer que cela posait des soucis : d'une part la chitine contenue dans leur exosquelette n'est pas digéré par les axolotls, par ailleurs les pics des crevettes peuvent créer des micro lésions dans leur cavité buccale et œsophagienne voire stomacale, les abcès viennent souvent de ces micro blessures.

  • Axolotls et cie, Histoire de l'axolotl et mythe

    Haut de page histoire histoire La légende de l'axolotl et son histoire à travers culture et science. Share L’axolotl : de la science à l’imaginaire Il peut arriver qu’un animal possède un fort pouvoir d’évocation symbolique non en raison d’observations populaires mais à la suite d’observations scientifiques qui révèlent des caractéristiques insolites de l’animal. Celui-ci suscite alors non des croyances ou des mythes mais un imaginaire littéraire. C’est particulièrement le cas pour l’axolotl, larve d’une salamandre du Mexique, à peine mentionnée dans la mythologie aztèque Tout au plus l’axolotl – « chien d’eau » (atl, eau,... et aujourd’hui encore méconnue non seulement du grand public, à l’exception du Mexique, mais souvent même des personnes cultivées. L’axolotl a été au cœur d’une controverse scientifique au XIXe siècle et ses caractéristiques biologiques surprenantes ont inspiré non des mythes populaires mais un motif littéraire attesté dans plusieurs œuvres de fiction, des années 1950 à nos jours. Définition actuelle : L’axolotl est la forme larvaire de l'Ambystoma mexicanum, une espèce de salamandre vivant dans les lacs des hauts plateaux du Mexique. Il mesure entre 20 et 25 cm de longueur, avec une queue aplatie latéralement et des branchies déployées sur les côtés de la tête. Il possède quatre doigts aux pattes avant et cinq aux pattes arrières. Une crête membraneuse court sur son dos et le long de sa queue. La tête triangulaire possède deux grands yeux dépourvus de paupières. L’axolotl est de couleur gris-brun pour la variété sauvage ; en élevage, les axolotls sont le plus souvent dépigmentés, voire albinos. À l’état métamorphosé, l’axolotl a perdu ses branchies et sa crête membraneuse, il respire et vit sur terre, mais il a conservé sa queue . L’axolotl ne se transforme que très rarement et il peut se reproduire à l’état larvaire, phénomène appelé néoténie. L’absence de métamorphose est due à une insuffisance de sécrétion d’hormones thyroïdiennes due au milieu aquatique froid et pauvre en iode dans lequel vivent les axolotls. Des métamorphoses ont pu être obtenues expérimentalement chez des axolotls par l’injection d’iode ou d’hormones thyroïdiennes. On a également observé des métamorphoses spontanées chez des axolotls acclimatés aux plaines chaudes. Une seconde caractéristique biologique remarquable de l’axolotl est sa forte capacité de régénération : ses blessures guérissent en reconstituant les tissus et ses membres amputés repoussent (queue, pattes). L’axolotl est devenu un précieux animal de laboratoire pour les recherches expérimentales en embryologie et en physiologie. À l’état sauvage, l’animal est une espèce protégée, mais ses variétés dépigmentées et albinos sont autorisées à la commercialisation comme animaux domestiques.Ces connaissances sur l’axolotl sont toutefois relativement récentes puisqu'elles datent de la fin du 19ème siècle et du début du 20ème. Peu à peu, en effet, la science a découvert les propriétés surprenantes de cet animal. La controverse du 19ème siècle Jusqu’au 18 ème siècle, l’axolotl était considéré comme une sorte de poisson. Le 19 ème siècle l’a correctement classé dans la catégorie des salamandres, mais en s’interrogeant sur sa nature larvaire ou définitive. En 1807, Georges Cuvier et Alexander von Humboldt expriment leur hésitation dans un opuscule intitulé Recherches anatomiques sur les reptiles, regardés encore comme douteux par les naturalistes, réalisé à l’occasion de l’axolotl. En 1829, dans la seconde édition de son Règne animal, Cuvier classe encore l’axolotl parmi les batraciens à branchies permanentes – « Tant de témoins, écrit-il, assurent qu’il ne les perd pas, que je m’y vois obligé » – mais c’est bien à contrecœur car il a l’intime conviction que l’axolotl est une larve de salamandre. Durant la première moitié du 19ème siècle, deux thèses opposées divisent les naturalistes. Pour les uns, comme Benjamin Barton, Johan Jacob von Tschudi, Luigi Calori ou Everard Horne, les axolotls sont une espèce distincte sous leur forme définitive et ne connaissent pas de métamorphose. D’autres naturalistes, au contraire, comme George Shaw, Pierre-André Latreille, Carl Mayer ou John Edward Gray, sont persuadés que les axolotls, bien qu’ils puissent se reproduire, sont des larves d’une espèce de salamandre dont on n’a pas encore pu observer la métamorphose à l’état adulte. Un événement crucial eut lieu en 1865. Le professeur Auguste Duméril, du Muséum d’histoire naturelle de Paris, qui avait reçu en 1864 plusieurs spécimens d’axolotls, observa une série de naissances : la plupart des nouveau-nés se développèrent en reproduisant la forme de leurs parents, mais quelques-uns subirent une transformation inattendue en salamandre terrestre, après avoir perdu leurs branchies et leur crête membraneuse. C’était la preuve que l’axolotl était bien une forme larvaire et non une forme achevée. Duméril publia en 1866 un mémoire intitulé « Observations sur la reproduction, dans la ménagerie des reptiles du Muséum d’histoire naturelle, des axolotls, batraciens urodèles à branchies extérieures du Mexique, sur leur développement et sur leurs métamorphoses ]Nouvelles Archives du Muséum d’histoire naturelle de.... Il concluait à la pertinence de la thèse larvaire. L’année suivante, Duméril publiait un second mémoire pour décrire une autre particularité des axolotls, leur pouvoir de régénération, qui donne parfois lieu à des anomalies anatomiques : « Description de diverses monstruosités observées à la ménagerie des reptiles du Muséum d’histoire naturelle sur les batraciens urodèles à branchies extérieures dits axolotls » . Dès la fin du XVIIIe siècle, des naturalistes avaient expérimenté la capacité de régénération des lézards et des tritons : chez ces derniers, un membre coupé sept fois de suite repoussait sept fois et un œil nouveau remplaçait celui dont on avait fait l’ablation. Concernant les axolotls, Duméril constate « combien est puissante la force qui, chez ces animaux, répare les pertes que les tissus ont subies » Il est éclairant de comparer les deux articles consacrés à l’axolotl, à vingt ans d’écart, par le Grand Dictionnaire Universel du XIXe siècle (Larousse). Dans l’édition de 1866, les résultats de Duméril n’étant pas encore connus, la classification de l’axolotl est présentée comme douteuse alors que dans le 2e supplément, publié en 1888, l’axolotl est bien identifié comme une larve de salamandre et il est fait mention de sa capacité de régénération. L’animal de laboratoire... Dès le début du 20ème siècle, en raison de ses caractéristiques, l’axolotl apparaît aux scientifiques comme un remarquable animal de laboratoire pour l’étude de la biologie du développement et de l’évolution. Dans les années 1910-1920, Julian Huxley expérimente sur des axolotls à l’Université d’Oxford. Les métamorphoses provoquées artificiellement et le succès de greffes de membres surnuméraires sont parfois exploités idéologiquement comme une preuve de la supériorité des thèses prônant la modification provoquée des espèces naturelles (le lyssenkisme) sur la théorie du déterminisme génétique : « L’expérience pratiquée sur l’axolotl a permis aux savants soviétiques de porter un nouveau coup aux théories réactionnaires », peut-on lire dans les Études soviétiques. Les spécificités biologiques de l’axolotl – possibilité de métamorphose, capacité de régénération, aptitude aux greffes, fréquence des mutations génétiques dans l’espèce – sont d’un grand intérêt pour la compréhension des mécanismes du développement normal ou anormal (cancer) des cellules, des organes, des membres, ainsi que du rôle des hormones et des gènes. On teste sur l’axolotl les effets des vitamines, des rayons X, des hormones, des modifications du milieu, des greffes, des manipulations génétiques, etc. Une recherche du mot « axolotl » sur Google : Les termes les plus fréquents sont significatifs : « régénération », « développement », « évolution », « métamorphose », « mutation ». La dimension « fantastique » pour un profane – est présente : mutants blancs, aveugles ou albinos, changements de sexe, greffes de pattes et même de têtes supplémentaires . N. J. De Both, « Transplantation of Axolotl heads ». L’inclassabilité La science s’est heurtée au problème de la place de l’axolotl dans la classification des animaux. Comme l’écrit H. M. Smith, « aucun animal […] n’a été plus diversement traité de manière taxinomique que l’axolotl H. M. Smith, : On a d’abord hésité à le classer parmi les poissons ou parmi les amphibiens, puis on a discuté de sa place parmi les amphibiens ayant acquis leur forme définitive ou encore à l’état larvaire. La découverte de sa néoténie a fait de lui un animal paradoxal qui peut se reproduire à l’état larvaire.L’anthropologue Mary Douglas a montré que les animaux perçus comme inclassables dans une culture – par exemple le porc chez les Hébreux, parce qu’il a les pieds fendus mais ne rumine pas, ou le pangolin chez les Lele d’Afrique, parce qu’il vit sur terre mais possède des écailles comme un poisson – se voient nécessairement investis d’une charge symbolique.La possible métamorphoseL’axolotl relève bien évidemment de l’imaginaire de la métamorphose, si présent dans les mythes, les légendes, les contes et la littérature fantastique, depuis Ovide jusqu’à Kafka.La spécificité de la métamorphose de l’axolotl est d’être « possible », à la différence du têtard qui se transforme obligatoirement en grenouille, et de certains amphibiens, comme le protée, dont la métamorphose est impossible. La métamorphose facultative suscite une série de questions. Pourquoi n’y a-t-il pas de métamorphose ? Qu’est-ce qui peut déclencher la métamorphose ? Quelle est l’apparence de l’animal après la métamorphose ? Sachant que l’axolotl est la forme larvaire d’une salamandre, le symbolisme de l’axolotl va rejoindre celui des amphibiens à métamorphose, comme la grenouille, c’est-à-dire des animaux qui passent à un niveau supérieur de développement, et l’axolotl a d’autant plus de « mérite » que cette transformation est « facultative ». La métamorphose des batraciens est typiquement le passage d’un monde inférieur (état larvaire, eau) à un monde supérieur (état adulte, air et terre). Chez la grenouille, l’abandon de la queue, qui représente l’animalité, est fortement symbolique. Cet animal est symbole de naissance et de renaissance après la mort chez les anciens Égyptiens et les chrétiens. Pour l’esprit moderne, la métamorphose des batraciens est une image emblématique du processus évolutif, qu’il s’agisse de l’origine aquatique de la vie et de l’adaptation aérienne d’espèces sorties de la mer, ou bien de la naissance humaine lorsque le nouveau-né quitte le liquide amniotique pour l’air libre.Des biologistes ont souligné la durée exceptionnellement longue de la période juvénile dans l’espèce humaine et n’ont pas hésité à appliquer à l’homme le terme de « néoténie » ouvrant ainsi la voie à l’idée que l’humanité est peut-être comparable à des axolotls, en attente de quelque métamorphose. Ce motif ne manquera pas d’être exploité par la littérature de l’imaginaire. La régénération L’étonnante capacité de l’axolotl à régénérer des tissus lésés, des organes endommagés ou des membres amputés évoque naturellement des références mythologiques ou légendaires : la repousse magique de têtes tranchées, par exemple l’hydre de Lerne affrontée par Hercule, ou de jambes coupées ; la guérison miraculeuse de plaies qui se referment. En expérimentant sur les axolotls, la science cherche à réaliser le rêve de techniques médicales permettant à l’homme de régénérer des parties de son corps malades ou mutilées. L'axolotl mexicain, "monstre aquatique" en langue nahuatl, objet de la curiosité scientifique pour sa capacité à régénérer des organes endommagés comme l'oeil ou le cerveau, est menacé d'extinction en raison de la pollution de son habitat à Xochimilco, zone lacustre du sud de Mexico. Cette petite créature (Ambystoma mexicanum) qui peut atteindre 30 centimètres vit, se reproduit et meurt entre 10 et 20 ans en étant toujours à l'état de larve. ​ La couleur de cette petite salamandre qui refuse la métamorphose peut aller du blanc laiteux au noir d'encre, en passant par le vert olive. L'axolotl peut pondre jusqu'à 1.500 oeufs par quatre fois par an. ​ L'animal fascine les biologistes qui étudient sa programmation cellulaire lui permettant une forte résistance au cancer et la possiblité de récréer certaines parties de son cerveau ou de se regénérer un oeil. ​ Mais c'est une espèce en risque de disparition. On ne trouve maintenant que 0,3 axolotl par kilomètre carré contre 1.000 en 1996, selon un relevé réalisé cette année par l'Université nationale autonome du Mexique (Unam) dans les labyrinthes aquatiques de Xochimilco. Cela est dû à la "mauvaise qualité de l'eau", polluée par les eaux usées de la mégalopole, les pesticides déversés par les cultivateurs locaux et les déchets laissés par les milliers de touristes qui visitent ce quartier, vestige de Tenochtitlan, le Mexico de l'ère préhispanique, explique Cristina Ayala, experte en sciences biologiques. A cela s'ajoute l'introduction depuis les années 70 de milliers de poissons destinés à la pêche, comme la carpe de Chine ou le tilapia d'Afrique. Ils adorent les oeufs de l'axolotl et sont un rude concurrent pour son alimentation. ​ Tentative de sauvetage Un groupe de scientifiques de l'Unam a mis en place, sous les auspices de l'université britannique du Kent, un projet pour tenter de sauver l'animal. Il s'agit d'essayer de convaincre les agriculteurs locaux d'abandonner l'utilisation des pesticides et l'aquaculture d'espèces étrangères, pour que l'axolotl puisse de nouveau se développer dans un environnement favorable. En échange, on donnerait aux produits agricoles locaux une certification écologique, avec la valeur ajoutée que cela peut signifier sur le marché. Pour le moment, trois canaux expérimentaux de Xochimilco ont permis la reproduction d'une centaine d'animaux, explique Horacio Mena, coordinateur du projet, qui inclut un élevage en laboratoire. ​ Une dizaine d'agriculteurs ont été convaincus d'adopter un système permettant le maintien de la propreté des canaux grâce à des plantes aquatiques. La localisation de ces "refuges" est gardée secrète afin d'éviter le vol d'axolotl pour le revendre comme animal domestique ou pour la confection de potions médicales. L'axolotl "se développe dans beaucoup de laboratoires dans le monde, dans des aquariums. Bien qu'il soit ainsi préservé de manière artificielle, il y vit une vie plus cosmopolite et transnationale", dit en souriant l'anthropologue mexicain Roger Bartra. Pour lui, la capacité de l'animal à rester une larve est une métaphore de l'identité mexicaine après la révolution du début du XXe siècle, un être "stagnant dans une apparente jeunesse éternelle", mais incapable d'aller vers la modernité. ​ Source: AFP Pátzcuaro (Mexique) - Le ronronnement des filtres à aquariums trouble la quiétude du monastère: plusieurs heures par jour, des religieuses mexicaines interrompent leurs prières pour prendre soin de leur élevage d'achoques, des salamandres aquatiques qui fascinent les scientifiques pour leur capacité à régénérer leurs organes endommagés. Le lac de Patzcuaro, dans l'Etat du Michoacan (ouest), est l'habitat naturel de l'ambystoma dumerilii, le nom scientifique de cette espèce d'amphibiens. Mais la pollution de cette vaste entendue d'eau et l'introduction de poissons prédateurs ont fait chuter la population d'achoques. Au point que cette salamandre aquatique à la peau verte-brune tachetée de noir, et dont les branchies externes font penser à une collerette marron et spongieuse, a été inscrite sur la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale de conservation de la nature (UICN): dans la catégorie "en danger critique", juste avant celle "éteinte à l'état sauvage". "Il reste très, très peu d'achoques en liberté", leur nombre a baissé "de manière dramatique" depuis les années 1980, déclare à l'AFP Maria Esther Quintero, en charge des espèces protégées auprès de la Conabio, entité du gouvernement mexicain qui étudie la biodiversité. A l'image de son cousin l'axolotl mexicain (Ambystoma mexicanum), "monstre aquatique" en langue nahuatl, également menacé d'extinction en raison de la pollution de son habitat à Xochimilco, zone lacustre du sud de Mexico, l'achoque peut régénérer ses cellules, ce qui intéresse grandement les chercheurs, notamment dans la lutte contre le cancer. Pour ces raisons, l'achoque est prisé pour ses vertus médicales supposées et consommé en soupe ou en sirop. Les nonnes du monastère Marie immaculée de la santé, dans la ville de Patzcuaro, en préparent et en vendent depuis plus d'un siècle. ​ - "Un mâle et trois femelles" - Quand elles ont vu que les créatures à l'origine de leur gagne-pain étaient menacées, les religieuses ont décidé d'agir. Sous l'impulsion d'un prêtre biologiste de formation, elle ont retroussé les manches de leur habit blanc et lancé un élevage entre les murs du monastère. "Si on faisait rien, (l'achoque) allait s'éteindre (...) C'est pour être juste avec la nature que nous avons commencé à travailler pour préserver cette espèce", explique soeur Maria del Carmen Pérez. ​ Au fil des années, les religieuses de ce monastère sont devenues de véritables expertes de cette salamandre. Elles ont ainsi constaté que les résultats étaient bien meilleurs dans le cadre de la reproduction "avec un mâle et trois femelles", explique à l'AFP soeur Ofelia Morales Francisco, qui se consacre à cette espèce depuis 18 ans. Elles ont également compris que la première femelle à pondre des oeufs devait rester dans le même aquarium, tandis que les autres étaient transférées vers d'autres bocaux. Ils remplissent deux pièces entières de ce bâtiment religieux situé au sommet d'une colline de la ville de Patzcuaro. ​ Sous le regard d'un enfant Jésus et d'une croix placés à proximité de l'aquarium-nurserie, chacune des femelles pond entre 300 et 400 oeufs à chaque ponte. Vient ensuite une étape délicate: "prendre soin des petits car il y a un certain cannibalisme entre eux", poursuit soeur Ofelia, qui consacre quelque six heures par jour à la reproduction des salamandres. Celles-ci se nourrissent de crustacés, de petits poissons et de différents types de vers de terre. Les religieuses sont aujourd'hui au maximum des capacités de leur élevage, qui accueille 300 individus. Mais le lac reste trop pollué pour accueillir à nouveau des achoques, explique soeur Ofelia. ​ - Dons et sacrifices - "C'est pourquoi nous donnons une parte de cette population aux universités. Le reste des achoques en surnombre, on le sacrifie pour faire les sirops", indique-t-elle, soulignant que les nonnes cuisinent aussi régulièrement de "délicieuses soupes" à base d'achoques. Soeur Ofelia refuse en revanche de s'étendre sur les recettes de la vente des sirops. Pour Maria Esther Quintero, l'experte des autorités mexicaines en charge de la biodiversité, ces religieuses représentent "le plus grand espoir" pour préserver cette espèce qui "possède le génome le plus important que l'on connaisse", toutes espèces confondues sur Terre. Cette créature, qui peut mesurer jusqu'à 20 centimètres de long, est "très importante dans le cadre de recherches sur la reproduction de tissus chez les humains", ajoute Mme Quintero. Le Zoo de Chester, à proximité de Liverpool en Angleterre, travaille en partenariat avec une équipe mexicaine pour déterminer le nombre précis d'achoques restants dans le lac de Patzcuaro. ​ L'achoque est le frère jumeau terrible du dieu Quetzalcoatl, selon la mythologie purepecha, peuple amérindien originaire de l'Etat de Michoacan. Mme Quintero estime que si les espèces envahissantes, comme la carpe, étaient éliminées du lac, l'achoque pourrait retourner dans l'eau où, selon cette mythologie, il s'était caché afin de ne pas être sacrifié. L’axolotl comme mythe littéraire Trois écrivains ont exploité de manière significative le motif de l’axolotl, dans les différents genres de la littérature de l’imaginaire : Robert Abernathy (L’axolotl, 1954) pour la science-fiction, Julio Cortazar (Axolotl, 1956) pour le fantastique,Caza (Axolotls, 1982) pour la fantasy Éditions utilisées : « L’axolotl » de Robert Abernathy.... Ce n’est pas un hasard si le mot « axolotl » figure dans tous les titres, même chez Cortazar qui aurait pourtant pu employer le terme espagnol ajolote. Le mot « axolotl », indépendamment de son origine aztèque, possède une connotation d’étrangeté, voire même « extraterrestre » , et rappelle les noms donnés par Lovecraft Écrivain américain (1890-1937) connu pour ses récits... à ses divinités (Cthulhu, Yog-Sothoth…). ​ Axolotl (1956) de Julio Cortazar : Cette nouvelle fantastique de l’écrivain argentin raconte comment un homme, fasciné par les axolotls du Jardin des Plantes de Paris, se retrouve dans le corps de l’un d’eux, tandis que l’esprit de l’axolotl prend possession de son enveloppe charnelle humaine. « Je collai mon visage à la vitre de l’aquarium, mes yeux essayèrent une fois de plus de percer le mystère de ces yeux d’or sans iris et sans pupille. Je voyais de très près la tête d’un axolotl immobile contre la vitre. Sans transition, sans surprise, je vis mon visage contre la vitre, je le vis hors de l’aquarium, je le vis de l’autre côté de la vitre. Puis mon visage s’éloigna et je compris » p. 263.. Comme le narrateur prétend être devenu un axolotl et se trouver dans un aquarium, il faut justifier l’existence matérielle du récit : Cortazar trouve une solution astucieuse à ce problème en faisant de lui-même l’homme dont l’esprit est celui d’un axolotl. Le narrateur termine en effet son récit par la phrase suivante : « Cela me console de penser qu’il [l’humain dans lequel est passé l’esprit de l’axolotl] va peut-être écrire quelque chose sur nous ; il croira qu’il invente un conte et il écrira tout cela sur les axolotls » p. 264.. Ainsi, le narrateur est un homme devenu axolotl et l’écrivain est un axolotl devenu humain. Le jeu des métamorphoses – qui est plutôt ici un échange de corps, ou d’esprits – apparaît plus complexe encore lorsque le conte laisse entendre que les axolotls, avec leur immobilité quasi minérale, leurs « visages aztèques [qui incitent à] tomber dans la mythologie » p. 262., conduit le narrateur à « voir dans les axolotls une métamorphose qui n’arrivait pas à renoncer tout à fait à une mystérieuse humanité ». Les axolotls semblent témoigner d’« un lointain royaume aboli, un temps de liberté où le monde avait appartenu aux axolotls » , p. 263.. On est ainsi tenté de faire des axolotls une figure symbolique des civilisations précolombiennes disparues. L’insistance avec laquelle Cortazar rappelle leur nom aztèque, leur visage et leur corps de pierre, mais aussi son identification aux axolotls, vont dans ce sens. Cette hypothèse est confirmée par deux chercheurs américains qui retrouvent ce motif du « double » indien et de l’échange de personnalité dans une autre nouvelle de Cortazar, La nuit face au ciel(1956), où un motocycliste accidenté en train de mourir dans un hôpital s’identifie à un guerrier sacrifié par les Aztèques T. J. Knight & A. H. Krull, « The Hidden Indian in....Le conte de Cortazar évoque aussi le célèbre apologue chinois où le sage Tchouang-Tseu, qui rêve qu’il est un papillon, se demande à son réveil s’il n’est pas un papillon en train de rêver qu’il est Tchouang-Tseu. L’axolotl, emblème de la métamorphose et de l’inclassabilité, auxquelles s’ajoute une connotation aztèque, a ainsi inspiré Cortazar pour ce récit où sont abolies les frontières séparant l’homme et l’animal, le passé et le présent, le Blanc et l’Indien, le vivant et le minéral. L’axolotl (1954) de Robert Abernathy : Dans ce récit, publié sept ans avant que des hommes ne soient envoyés dans l’espace, Abernathy imagine que le premier astronaute quittant l’atmosphère terrestre subit une métamorphose qui le transforme en un être nouveau, doué de pouvoirs supérieurs. La référence à l’axolotl est explicite, non seulement dans le titre, mais encore dans des paragraphes en contrepoint du texte principal, qui décrivent la vie et la transformation de l’amphibien mexicain. L’analogie est systématiquement développée. Tel l’axolotl, l’homme est décrit comme une forme inachevée qui a la capacité de se reproduire à l’état larvaire : « Pendant longtemps les biologistes nous ont raconté que l’homme n’était qu’un fœtus attardé, une sorte d’embryon qui vieillit sans jamais vraiment parvenir à l’état adulte. Maintenant je sais pourquoi : les conditions de maturité, la destinée pour laquelle nous avons été créés, n’existent pas sur terre… » R. Abernathy, op. cit., p. 57.. Certains axolotls, poussés par leur instinct, quittent la « vase noirâtre [des] eaux stagnantes » pour aller vers l’air, la terre et la lumière ; de même, le héros d’Abernathy est mu par une force irrépressible qui le conduit à s’arracher à la Terre et à sa pesanteur, afin de rejoindre l’espace et les étoiles. Lors de sa métamorphose, l’axolotl perd ses branchies et la crête membraneuse lui permettant de nager ; l’astronaute voit tomber ses ongles, vestiges de notre animalité, et ses poumons deviennent inutiles dans le vide spatial. La transformation a lieu après le passage de la fusée à travers des « rayons cosmiques primaires [qui sont] au déchaînement de rayons gamma produit par une explosion atomique ce qu’est, au doux clapotis d’une pluie d’été, une rafale de mitrailleuse » p. 49.. Cette précision mérite d’être commentée : elle associe à nouveau l’homme et l’axolotl puisque, dans les années 1950, on croyait que le voyage spatial serait très dangereux en raison des rayons cosmiques et, parallèlement, on étudiait les effets mutagènes de la radioactivité sur les axolotls. Enfin, à l’instar de la larve blafarde de l’axolotl qui se transforme en salamandre tigrée, « nouvelle créature […] aux petits yeux brillants, couverte de superbes rayures noires et or » p. 52., l’homme de l’espace devient une sorte d’ange aux capacités physiques et psychiques décuplées. À la fin de la nouvelle, le héros annonce que l’humanité tout entière, en entrant dans l’ère de la conquête de l’espace, est appelée à se métamorphoser. Axolotls (1982) de Caza : Auteur de fantasy, ou « science-fiction mythologique », Caza s’inspire de mythes et de légendes provenant de traditions diverses pour créer ses mondes imaginaires Voir J.-B. Renard, « L’imaginaire mythologique de Caza.... Le récit en bandes dessinées Axolotls mêle l’influence de la nouvelle d’Abernathy, selon les dires de Caza lui-même, aux références mythologiques grecques et hébraïques.Sur une planète inconnue, en un temps indéterminé, vivent les Axolotls, créatures humanoïdes grossières, vertes, flasques, aux mains palmées, vautrées dans des marécages puants. L’un d’eux, nommé Promez, s’extirpe de la boue originelle et, par défi, grimpe sur la statue colossale du dieu Zeutàn. Le feu du ciel s’abat alors sur l’impie, mais en provoquant sa métamorphose en Salamandre, sous le nom de Luz’ifer. Tandis que la statue de Zeutàn s’effondre, tout le peuple des Axolotls, sous l’effet du feu, se transforme en Salamandres. À l’inverse des Axolotls, les Salamandres se tiennent debout, ils sont de couleur rouge, leur peau est couverte d’écailles et ils vivent dans le feu.L’imaginaire zoologique de l’axolotl est ici anthropomorphisé sous la forme d’humanoïdes. S’y ajoutent des références mythologiques manifestes : on reconnaît le mythe grec de Prométhée (Promez) volant le feu à Zeus (Zeutàn = Zeus + Wotan), tout comme le mythe hébraïque de Lucifer (étymologiquement « porteur de lumière ») qui se révolte contre Dieu. Comme souvent chez Caza, un rapprochement peut être fait avec William Blake qui, dans Le Livre d’Urizen (1794), a exploité ce mythe de la rébellion contre Dieu. La métamorphose de l’Axolotl en Salamandre rappelle aussi la légende juive selon laquelle l’Adam primordial était une créature sans intelligence qui se déplaçait en rampant : il n’acquit la posture verticale que lorsque Dieu lui donna une âme L. Ginzberg, Les Légendes des Juifs, Paris, Cerf, 1997,.... Le symbole du feu permet à Caza de faire le lien entre Prométhée, Lucifer et les Salamandres, qu’une croyance magique identifie aux « esprits du feu ». Le Salamandre Luz’ifer est la figure symbolique d’une renaissance, voire d’une résurrection. Du monde aquatique, froid et obscur, où vivent les Axolotls, s’élève un appel quasi christique : « Père, nous as-tu abandonnés ? Nous végétons dans les vallées de l’ombre, tandis que ton front touche aux lumières du ciel ! » Caza, op. cit., p. 43. Après sa mutation, le Salamandre devient un Homo erectus, dans tous les sens du terme : il acquiert la station verticale, passant de l’animalité asservie à l’« humanité » libérée, et son pénis mou d’Axolotl est devenu un phallus triomphant. L’historien de l’art Leo Steinberg a montré que l’érection sexuelle a été un symbole fréquent de la résurrection, depuis Osiris jusqu’au Christ, en passant par les dieux ithyphalliques de l’Antiquité gréco-romaine L. Steinberg, La Sexualité du Christ dans l’art de.... Conclusion Reprenant une idée avancée par Henri Bergson, Caillois considère que les comportements instinctifs des animaux ont leur double dans l’imagination symbolique de l’homme. Ce qui est instinct biologique chez le premier est représentation mythique chez le second Voir R. Caillois, Le Mythe et l’Homme, Paris, Gallimard,.... Par exemple, le comportement de la mante religieuse ou de certaines araignées a pour correspondant le motif mythique de la femelle démoniaque dévorant ou castrant l’homme qu’elle a séduit. Il en est de même pour l’axolotl, dont la néoténie, la possible métamorphose et la capacité de régénération correspondent au mythe du refus de grandir, à l’espérance d’une résurrection et au rêve de l’autoguérison. On trouve d’autres illustrations de cet imaginaire dans la culture contemporaine, quoique de manière marginale, au-delà des trois œuvres présentées plus haut. Ainsi Frank Herbert, auteur du célèbre cycle de science-fiction Dune (1969-1984), a nommé axolotl tank (« caisson axolotl ») un « appareil pour la reproduction d’un être humain vivant à partir de cellules de son cadavre » Dans l’univers ludique enfantin, marqué par les créations japonaises, on trouve une référence explicite à l’axolotl dans quelques personnages des Pokémons, créés en 1996 ainsi Wooper est une figuration simplifiée de l’axolotl avec ses branchies externes et sa queue plate. D’ailleurs le nom Wooper vient de wooper looper, phonétisation anglaise des mots japonais upa rupa (prononcer « oupa loupa ») qui désignent au Japon les axolotls vendus comme animaux domestiques. Le nom français de Wooper est Axoloto ! La créature peut se transformer en Quagsire, qui signifie « le seigneur des marécages », d’où son nom français : Maraiste. Ce n’est que métaphoriquement, enfin, que des auteurs invoquent la figure de l’axolotl. Dans son ouvrage sur les Mexicains (La Jaula de la melancolia : identidad y metamorfosis del Mexicano, 1987), l’anthropologue Roger Bartra considère qu’à l’instar de l’axolotl l’identité mexicaine est larvaire et comme condamnée à rester inachevée. Le philosophe Gilles A. Tiberghien, dans Le Principe de l’axolotl (1990), fait du voyageur contemporain le « lieu d’un devenir qui ne s’accomplit jamais », tandis que la romancière Myriam Donzelot, dans La Métamorphose de l’axolotl(2004), décrit les incertitudes psychologiques de son héroïne. ​ ________________________________________ Références bibliographiques •R. Abernathy, « L’axolotl », in Histoires de cosmonautes, Paris, Le Livre de Poche, 1974, pp. 39-58. •R. W. Balch et David Taylor, « Le culte des OVNI », Psychologie, n° 85, février 1977, pp. 35-41. •J. Bourke, « Popular medicine, customs, and superstitions of the Rio Grande »,The Journal of American Folklore, vol. 7, n° 25, avril-juin 1894, pp. 119-146. •P. 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